Les corps, en apparence immobiles, se mettent à danser si l'on prend la peine de s'attarder sur les jeux de lumière et la multiplicité des contrastes de ces tableaux. Parfois torturés, et parfois alanguis,, nus ou habillés de voiles si légers qu'ils évoquent d'infinis murmures, les modèles respirent un parfum de scandale ou bien de pureté... Tableaux nommés désirs ? Les natures « mortes », puisent dans les couleurs choisies un élixir de vie si puissant qu'ils donnent envie de mordre dans leur chair ? Les visages appellent les caresses, les baisers, invitent à se nourrir de l'émotion qu'ils dégagent.
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