• Julien et Jonatan… La séparation

     

     
     
     
    Julien et Jonatan...la séparation
     
     

    - Tu m’as trahi, Julien.

     

    - Pourquoi tu dis ça ? Tu sais bien que non…


    - Tu as mis fin un peu prématurément à notre aventure virtuelle (1)…


    - Elle n’était pas destinée à durer.


    - Oui, je sais bien. Mais quand même !… Tu l’as réduite au strict minimum. Avoue que tu as eu peur des réactions et des rumeurs qui commençaient à enfler…


    - C’est un peu vrai. Je n’aimais pas trop la tournure que cela prenait. Les réactions de certaines de mes amies m’ont dérouté, même si je les comprenais. Ça m’a gêné, je l’avoue.


    - Tu es trop sensible aux humeurs, Julien. Ce que pensent les gens de toi, on s’en fout. Si tu tiens compte des avis de tous les imbéciles qui encombrent la terre, tu n’es pas sorti de l’auberge. Quatre vingt dix pour cent sont mal dans leur peau. Frustrés, rabougris, aigris, jaloux, mesquins et j’en passe et des meilleurs…. Il y a deux sortes de gens Julien. Les gens avec qui on est bien, et les autres. Tous les autres dont il ne faut pas tenir compte au risque, comme toi, de s’y perdre. Nous savions tous les deux ce qui allait se passer… Que voit on quand on regarde ? Une apparence. Un miroir tendu à seule fin de plaire. Ce qui compte pour moi, c'est ce que moi, je pense de moi. J'ai mon petit miroir personnel qui me suit partout et qui, lorsque je lui demande "Miroir, mon beau miroir, comment me suis je comporté aujourd'hui ?" me réponds la vérité, toujours la vérité. Et lui, je l'écoute. Ce que pensent les gens qui me jugent à travers leur miroir déformé ne m'intéresse pas.


    - Oui. Tu as sans doute raison. J’ai un peu craqué.


    - Bon. Je ne t’en veux pas. Comme on dit : « Faute avouée est à moitié pardonnée ». Tu es comme ça... N’empêche, j’aurai bien voulu attendre un peu plus. J’ai vu venir à moi deux ou trois colombes dont la blancheur a attisé mes sens. J’aurai pu en faire roucouler au moins une…


    - (Rire). J’ai quelques doutes là-dessus, Jonatan. Les filles, elles sont curieuses. Curieuses, mais prudentes. Parfois elles frémissent, mais elles se reprennent vite. Toi, tu es trop direct. Tu ne sais pas alimenter leurs fantasmes. Tu  rentres dedans comme un renard dans un poulailler et elles prennent peur. Les filles, c’est comme les oiseaux, les colombes, pour reprendre l’image que tu viens d’utiliser. Faut commencer par ne pas bouger. Attendre et les laisser venir. Ensuite, tu avances doucement en souriant, avec quelques graines dans ta main tendue. Et même en procédant ainsi, ça ne marche pas toujours. Le moindre bruit les fait fuir. Ne me dis pas que tu l’ignores. Tu sais, elles en voient des mecs qui ne pensent qu’à profiter d’elles. Elles sont sans cesse harcelées par des imbéciles qui ne pensent qu’au sexe…


    - Mais moi aussi je ne pense qu’au sexe ! Et toi aussi !….mon petit Julien chéri. Tous les mecs ne pensent qu’à ça !


    - Oui, bien sûr. Mais entre y penser et sauter sur tout ce qui bouge, il y a une marge.


    - Qu’est ce que tu en sais toi, d’abord ? Et puis, je ne « saute » pas sur tout ce qui bouge comme tu sembles le dire. Mais pour choisir celles qui bougent bien, encore faut il que je les vois bouger...Alors, un peu de provocation, ça chatouille là ou il faut. Ensuite j’avise. Soit je continue, soit je jette. Et puis dis moi ! Tu y parviens à tes fins toi ? Avec tes mots ? Tes belles phrases ? Ah, oui ! Ok ! Tu les fais sans doute rêver. Peut être même qu’elles se caressent en t’écoutant. Mais toi, Julien, tu en retires quoi…


    - J’en retire l’excitation du jeu. J’aime qu’elles m’aiment. J’aime qu’elles se sentent aimées. J’aime les imaginer, pensant à moi…


    - Et bla bla bla... Et bla bla la…. Et après ? Tu parles comme une nana, là ! T’as un problème avec Oedipe (rire). Et après ? Tu te masturbes ? Tout seul ? Chez toi ? Devant ton écran ?....


    - Arrête de dire des bêtises, même si ce que tu dis n’est pas tout à fait faux. Je suis plus cérébral que toi, c’est tout… Mais je reconnais que, de temps en temps, les détours interminables de l’approche amoureuse me pèsent…. Me paralysent….


    - Ah ! Tu vois ? Bien sûr que tu ne bandes plus ! Tu te comportes en fille ! Tu mouilles ton pantalon comme elles mouillent leur petite culotte. Seulement elles, après avoir pris leur pied, elles peuvent faire semblant de jouir, alors que toi, tu peux pas faire semblant. Tu as tellement fait d’efforts pour les charmer, les envelopper délicatement dans ta toile que tu as perdu tous tes moyens. Un mec ça bande, ou ça ne bande pas. Comme disait Brassens : « La bandaison, papa, ça se commande pas ». Que crois tu qu’elles fassent, les filles, quand elles te voient dans cet état lamentable d’impuissant chronique ? Et bien, je vais te le dire. Elles s’en foutent complètement. Elles ont pris leur pied à t’écouter, et elles se tirent. Et toi, tu rentres chez toi et  tu pleures, dans ton lit, tout seul ! Moi, ya pas écrit pigeon, sur mon front ! Marre mon vieux, de ce pouvoir qu’ont les femmes. Elles peuvent simuler et pas nous. Et ça ! Ça fait une grosse différence. Elles peuvent se cacher, et pas nous. Nous, on est toujours visibles ! Ça, elles le savent et elles en profitent. Tu  ne me l’enlèveras pas de l’idée. Dés qu’un mec  commence à bander elles s’affolent... Oh ! Mon Dieu, un obsédé ! Un macho ! A l’aide ! Un pervers ! Ce qui ne les empêche pas d’observer du coin de l’oeil, le grand méchant loup en rut. Le Grand Satan les attire autant qu’il leur fait peur. Un jour qu’on discutait, tu m’as montré un truc qui m’a plu, dans ton blog. Ça a fait tilt dans ma tête ! Attends que je me souvienne… C’était une histoire de souris… “ Si tu m’attrapes, je crie, mais si tu dors, je t’appelle ” … Un truc comme ça. Tu vois de quoi il s’agit ?


    - Oui, bien sûr.  La citation exacte était : “ Quand tu n’es pas là, que je m’ennuie, je fais des rêves dans ma nuit ” disait le chat à la souris. ” - “ Si tu m’attrapes, moi, je crie, mais si tu dors, moi, je t’appelle ” a répondu la souris.


    - Oui c’est ça ! C’est tout à fait ça ! Ç’est bien cela, les femmes ! Tu leur donnes un truc. Elles chipotent, s’en amusent un moment en te faisant les yeux doux. Puis elles veulent autre chose. Et encore un peu plus d’autre chose, et puis encore autre chose…pendant que toi, tu tires la langue. Je les vois les mecs. Ils tournent autour du pot des heures, des jours, des semaines, avant de parvenir à lâcher un peu de sperme. Et que je te roucoule encore un petit coup !  « Parle moi, d’amour…Dis moi des choses tendres »… « Rejoue moi z’en encore, s’il te plaît, de la mandoline ! »…Les femmes sont des machines à fabriquer des impuissants ! Voila ce que je pense. Merde à la fin ! A poil les filles !... Qu’on s’éclate un peu…


    - Comme toujours, tu exagères…


    - Oui, j’exagère ! Bien sûr que j’exagère ! Comme elles ! C’est normal. C’est en réaction. Elles me gonflent les femmes car je ne peux pas m’en passer. Bordel de merde ! Parfois c’est dur ! Tu comprends cela non ?... Oui, je sais que tu comprends. Forcément, puisque quelque part on est pareils…


    - Ne t’énerve pas Jonatan... Nous sommes entre copains, non ?


    - Oui, hélas…Non, je déconne. Bien sur qu’on est copains. On souffre tous les deux de la même chose. De ces putains de rapports compliqués entre les mecs et les gonzesses...De ce putain de pouvoir qu’ont les  filles, de se moquer de nous, qui jouent au chat et à la souris, et dont on ne peut pas se passer…Je comprends qu’il y ait de plus en plus de pervers en circulation. Les mecs, ils n’en peuvent plus de désir…et, certains d’entre eux, de plus en plus nombreux dans ce monde de merde où on parle, où on débat à n’en plus finir, craquent. Comme ils sont des verrues anormales sur une bonne couche de confiture écoeurante de platitude, on les fout en prison ou on les pend. Par moments, je t’assure, je me sens proche d’eux.


    - Arrête. Tu vas trop loin. Tu n’es pas comme eux. Ne te fais pas passer pour autre chose que tu n’es.


    - Ah oui ? Et comment je suis, selon toi ?


    - Tu es un tendre qui se donne des airs de dur. Un mec qui souffre. Un amoureux empêtré  dans ses contradictions, dans un désir qui le ronge. Tu débordes de sève. Je connais ça. Ça fait mal le désir…Voila ce que tu es…un mec que j’aime bien. Un ami.


    - Et merde ! Tu fais vraiment chier ! Non pas du tout ! J’aime le sexe, et puis c’est tout !

    Marre des circonvolutions, des contours. Je vais te dire. Dans nos putains de sociétés dites « évolués », plus personne n’agit. On se fait que parler.  Et merde aux pucelles effarouchées ! Cassez vous…. « Remplacez nous les noooonnes, par de belles mignoooonnes,… et qui fument !…Cré nom de nom ! »


    - Tu es con ! (rire). Mais je voudrais revenir un moment encore sur ce que tu viens de dire à l’instant. A savoir la différence entre un véritable pervers et toi. Penses tu que cette histoire que tu m’as racontée, celle avec la pile électrique, c’était un geste de désaxé, de pervers ? Et ce truc que tu faisais dans les églises, aussi ? (1)


    - Ça y ressemblait, en tout cas, oui. C’était complètement fou. De la montée d’adrénaline pure. Un feu de joie ! C’était la jouissance brute, entière, profonde ! De la passion ! Du sexe endiablé !  De la dynamite…. Un régal ! J’en redemande…. « Ami… remplis…. mon veeeeeerre… Encor’ un, et, je, vas… Encor’ un, et, je, vais… Non ! Je ne pleure pas… » Mais c’est vrai qu’à froid, quand j’y repense,… Je dois effectivement être un peu timbré…


    - (Rire)… Exactement….camarade.  Mais le « timbre » que tu trimballes est sacrément brillant ! Un diamant, oserais je dire. Les malades ne trimballent pas ce type de folie dans leur corps. Ils souffrent aussi, certes, comme toi, comme nous, mais ils sont pétris de honte. Ils n’assument pas. Ils transpirent la culpabilité. Ils se cachent et rodent pour assouvir leur désir qu’ils pensent malsain et condamnable. Alors que toi, tu le clames haut et fort ton désir, comme tu viens de le faire à l’instant, en chantant Brel et Brassens, à la face du monde. Tu le revendiques ! Tu brilles en disant cela ! Tu resplendis ! Voila la différence entre un désir authentique et une perversion.


    - Je comprends ce que tu dis. Mais ça change quoi ?


    - Tout. Ça change tout. Tu crois que je serai ton ami si tu étais un malade ? Tu crois que je perdrais mon temps à parler avec toi. Nous sommes pareils Jonatan. En nous le désir est fort. Très fort. Aigu. Très pointu. Il fait mal. Il nous perturbe et en même temps il est notre moteur. Nous carburons au désir. Notre rencontre et notre entente ne sont pas le fruit du hasard.


    - Bon, ok ! Si tu veux. Après tout, pourquoi pas ! N’empêche que j’avais reçu deux ou trois messages prometteurs et que ton intervention pour mettre fin à notre projet a tout foutu en l’air. Tu as gâché une possibilité d’ivresse et ça, c’est con ! Des occasions de s’éclater, ce n’est pas tous les jours. Ces grives qui s’approchaient, je les sentais venir. Je m’imprégnais déjà de leur parfum. Elles tournaient autour de mon antre comme des abeilles autour d’un pot de miel. Et j’aurai peut être pu commencer à en plumer une…


    - Ah ! Tu es incorrigible Jonatan !... Une véritable boussole. Tu ne perds jamais le nord. Des grives maintenant ! Plumer ! Tu parles des femmes comme si elles étaient des proies pour toi alors que je sais bien que ce n’est pas le cas.


    - Qu’est ce que tu vas me sortir encore ?…


    - Je te connais bien Jonatan. Tu ne captures pas. Tu ne plumes personne. Et cela t’énerve ! Tu voudrais bien mais tu t’en sais, au fond, incapable. Et cela te dérange. Tu aimes trop les femmes. Mais elles ne peuvent pas deviner, en te voyant, ce que je sais, moi ! A savoir que ce sera toi leur prisonnier et non l’inverse. Que le loup montre ses crocs, mais qu’il ne demande qu’à ronronner, comme un chat. Qu’as-tu fait quand Marie Charlotte s’est aperçue que tu visionnais fébrilement son derrière ? Et qu’ensuite elle a ri aux éclats ? (1)


    - Que veux tu dire ?


    - Tu as adoré son rire. Tu l’as remercié pour son rire. Tu l’as aimé, pour cela. Dans la position où elle se trouvait, un tantinet humiliante pour n’importe quelle femme, elle pouvait être choquée par ton geste. Or, elle a ri, comme tu m’as raconté, à en perdre le souffle. Sa réaction t’a surpris, Jonatan. Bouleversé, même ! Pourquoi ? Parce que tu n’avais jamais entendu un rire pareil. Et je sais que tu y penses encore !  Tu n’as jamais pu l’oublier, ce rire... Pourquoi m’as-tu raconté cette histoire ? Pourquoi as-tu tenu à ce qu’on la fasse figurer dans ton Cv ? Parce que tu es éperdu de reconnaissance à son égard. Pour sa spontanéité, sa liberté, son audace…Dans cette histoire, qui était le plus vivant, le plus fou des deux ? Toi ou elle ? Toi, qui suivait ton désir ou elle qui, reconnaissant ta folie dans ton attitude, te prouvait qu’elle était à la hauteur de ce que tu attendais d’elle ? Le piégé, dans cette histoire, ce fût toi ! Pas elle ! Sa réaction, complètement inattendue, t’a mystifiée. Dis moi, Jonatan ? As-tu oublié Marie Charlotte ? N’est ce pas elle, ou son double, que tu recherches en permanence dans ta quête de nouvelles aventures féminines ?


    - Tu m’emmerdes Julien. Je comprends ce que tu veux me prouver, mais ça ne me plait pas. Tu es fort pour inverser les rôles. C’est vrai. Je n’ai jamais oublié Marie Charlotte et je ne l’oublierai jamais. Des comme elle, je n’en ai pas rencontré beaucoup. Mais c’est du passé. Et le passé est le passé. Le présent, seul, m’intéresse. Et l’avenir aussi, avec ses promesses futures. Donc, la question est : Que va ton faire maintenant ?


    - Je l’ignore. En tout cas, en ce qui me concerne, sûrement pas grand-chose.


    - Tu es démoralisant Julien. Tu es un chieur intelligent. Les pires ! Tu parles bien, mais tu foutrais le bourdon à trois armées de joyeux fêtards bourrés, un soir de carnaval à Rio. Toi aussi, quelque part, tu es fou.


    - Je le reconnais...et je le déplore. A force de me masturber les méninges, j’en deviens chiant. Pour cela, pardonne moi.


    - Il n’y a rien à pardonner, idiot ! Tu es comme ça ! C’est tout ! Pourquoi faut il que tu t’excuses tout le temps. C’est pénible à la fin !


    Julien baissa la tête, un peu accablé. Jonatan lui tapa gentiment sur l’épaule.


    - Je m’en vais, maintenant l’ami. Pourquoi ne viens tu pas avec moi ? Ça m’ennuie de te laisser ici. Je te vois dépérir. La vie est belle, Julien ! Tu verras ! On trouvera d’autres jeux ! On rigolera ! Tu ne ris pas assez Julien !


    - C’est vrai que je ne ris pas beaucoup, et pas assez souvent. Mais toi, tu m’as fait rire. Tu es tellement plein de vie. Et j’aurai bien besoin en ce moment d’une cure de bonne humeur… Bien sûr que tu pars. Tu es un aventurier et les aventuriers s’aventurent… Je ne m’attendais pas à ce que tu restes. Ici ou ailleurs, tu n’es pas quelqu’un qui s’éternise.


    - Non. Je sais bien que tu ne me suivras pas. Mais tu as tort. Pour trouver un bon bouquin, il faut en lire cinquante. Pour se souvenir d’un bon film, il faut en avoir vu une centaine. Pour voir une bonne émission à la télé, il faut se coucher de plus en plus tard. C’est toi qui me l’as dit, et tu as raison. J’ajouterai que pour rencontrer une fille qui vaille la peine qu’on s’y attarde, il faut longtemps courir les routes. Remarque, les nanas peuvent dire pareil à propos des mecs.


    Toi, tu n’es peut être pas un aventurier mais tu es un explorateur infatigable des jardins potagers. Tu tournes, tu tournes, autour du moindre brin d’herbe comme s’il recélait des trésors cachés... Tu es un maniaque du microscope ! Un obsédé de l’infiniment petit ! Tu es, toi aussi, un peu spécial. Je suis content que l’on se soit rencontré. Bon, je me tire. On reste en contact. Je t’écrirai. N’aie crainte, on se reverra un jour. Je ne t’oublierai pas.


    - OK, écris moi... Moi non plus Jonatan, je ne risque pas de t’oublier. Salut ! Et…bonne route !


    - Repense à ma proposition ! Tu as mes coordonnées et j’ai les tiennes. Où que je sois, n’importe quand, tu m’appelles et on se fait une virée. Ça fera du bien à ton cholestérol ! Bye, bye…Salue les nanas du jeu de ma part…Oh, et puis non !…Ne salue personne !…


    (1) Voir dans cette même rubrique : « Julien et Jonatan. La rencontre »


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  • Commentaires

    1
    Labelscrap
    Lundi 11 Janvier 2010 à 13:29
    Bonjour Julien..Cela faisait longtemps, que je n'étais venue te lire.(septembre, je crois)..et, je découvre ces textes..."Julien/ Jonathan"...Franchement, ça fait du "bien" de les lire!...
    Je ris, car, j'aurais aimé trouver ce style de profil masculin, sur "meetic", par exemple...!!...enfin de la fantaisie! du jeu! des jeux!..
    D'autre part, je suis sensible aux réflexions, à propos, des rapports hommes/femmes.....Car, je découvre, de plus en plus, une société si "coincée"...!!..si prête à "cataloguer", le moindre être "décalé"...
    Merci!...
    2
    Julien Daumange Profil de Julien Daumange
    Lundi 11 Janvier 2010 à 16:27
    Bonjour Labellie
    > Merci de ton passage sur mon blog. Oui, ça faisait un bon moment....
    > J'espère que tu vas bien et que tu arrives à prendre du bon temps malgré
    > la difficulté des rapports humains. Pour ma part, toujours la routine, qui
    > certes parfois me pèse, mais qu'y faire ? Dans son jardin ou au bout du
    > monde, c'est toujours à soi que l'on a affaire. Du moins c'est ma
    > conviction. Les aventuriers sont souvent des gens qui se fuient, même s'il
    > ne faut pas généraliser. Bisous et bonne chance.
    3
    furious4
    Mardi 9 Février 2010 à 17:09
    Coucou julien après une grande pause je suis repasser sur ton blog et je me suis régaler a lire ces histoire entre toi et jonathan...Un face à face avec toi même !!! Rare son les gens qui arrivent à se regarder en face à se voir comme ils sont avec leurs qualitées et leurs défaults...En tout les cas j'ai beaucoup aimé vraiment c'est toujours un délice que de venir chez toi on s'y sent bien presque chez soi....tout y est le calme la musique et de jolies lectures . Merci julien ..................
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    4
    Julien Daumange Profil de Julien Daumange
    Mardi 9 Février 2010 à 17:46
    Merci à toi Fabienne... Tu es toujours la bienvenue. Mon blog c'est pour moi L'Altheiros, ce pays imaginaire de l'enfance rêveuse, l'illusion d'une époque perdue. Je dis bien l'illusion... lol..
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